CAN 2023 : Bruno Ben Moubamba exprime son désarroi face au comportement de Creol

Les relations entre Bruno Ben Moubamba et sa nièce, la chanteuse Creol, semblent traverser une période tumultueuse. La discorde a éclaté lorsque la chanteuse s’est rendue en Côte d’Ivoire pour soutenir l’ivoirien Camille Makosso lors de la victoire du Cameroun contre la Guinée Conakry lors de la CAN 2023.

L’ancien vice-premier ministre a partagé un lien audio dans le commentaire d’une photo de Creol, critiquant ouvertement le comportement de la chanteuse qui a publiquement exprimé son intention de passer la nuit avec Camille Makosso en cas de victoire du Cameroun. Cette déclaration a apparemment suscité la désapprobation de Ben Moubamba, qui a exprimé sa déception envers sa nièce le 15 janvier dernier.

Creol, connue pour son tube “La chambre 144”, a récemment attiré l’attention sur Facebook avec des vidéos et des photos la montrant dans un état d’esprit décomplexé. Dans ces contenus, elle exprime son désir de passer la nuit avec Camille Makosso en cas de victoire du Cameroun, un geste qui n’a pas été bien reçu par son oncle.

Bruno Ben Moubamba a pris la parole pour exprimer son mécontentement, déclarant : “Creol… Stop. Je te le dis en tant que ton oncle de Moabi (chez ta mère) et en tant que leader ontologique du Nyangou et du Gabon d’après. Celui ou celle qui a coupé mon discours pour se concentrer sur notre fille a eu raison ! Elle est devenue le symbole de la femme bantu que certains veulent manger en vampire pour tuer le Nyangou ou la terre sainte du Gabon Ben Moubamba.”

Le leader politique est déçu par l’attitude de sa nièce, suggérant que la CAN 2023 ne serait qu’un prétexte pour ses véritables ambitions, et insinuant que la chanteuse manquerait de repères. Bien que Ben Moubamba ait exprimé son désaccord, Creol semble ignorer les conseils de sa famille, comme en témoigne sa réponse à l’un de ses commentaires.

Il est clair qu’une tension persiste entre l’ancien premier ministre et la chanteuse, mais pour l’instant, aucune confrontation directe n’est à l’ordre du jour.