Creol menace l’influenceuse ivoirienne Emmanuelle Keita pour l’avoir demandé de couvrir son corps

Creol n’a pas apprécié la critique sur son style vestimentaire portée par l’influenceuse ivoirienne, Emmanuelle Keita. La chanteuse gabonaise a littéralement brandi des représailles et promis de se rendre à Abidjan en Côte d’Ivoire pour une confrontation. Une décision annoncée ce lundi 9 octobre lors d’un direct sur les réseaux sociaux.

Si Emmanuelle Keita a cru bien faire en lui conseillant d’arrêter de s’exhiber dénudée sur la toile et de s’habiller décemment, cette proposition semble avoir jeté de l’huile sur le feu auprès de la concernée. Trois jours plus tard ,Creol a exprimé toute sa frustration. La chanteuse gabonaise s’est fondu dans des propos désobligeants. On aurait cru à un procès contre Emmanuelle Keita. Se baignant à la piscine entre câlins et selfies de quelques rares fans, la Fantastik en chef brandit les menaces.

“Toi là, ce n’est pas que tu t’habilles mieux que les autres influenceuses. En Côte d’Ivoire tu ne fais pas partie du top 5 des gens qui savent s’habiller toi EK. Avec ton FaceApp qui te rend le visage du botox comme pour Sylvia(…) On compte tes fashions faux pas. Tu as voulu faire un look des chinoises sur un tapis rouge en Côte d’Ivoire, ton look était tellement sale même avec FaceApp. On doit te trouver un cameraman pour que ton visage. Ne soit pas aussi choquante pour ton émission qui utilise FaceApp“, a-t-elle tranché.

Rajoutant que : “Faire semblant de m’apprécier pour mieux me descendre ne marche pas avec moi. Moi c’est aime-moi ou déteste-moi. Et je te conseille de m’aimer en tout. Si tu veux me mettre dans l’autre camp, alors j’en ferai une affaire personnelle. J’arrive en Côte d’Ivoire. Tout ce que tu as dit, tu vas me le répéter en face“, a prévenu Creol.

Les internautes étaient partagés sur la question. Certains l’ont encouragé à faire dans l’invective tandis que d’autres étaient simplement très déçus parce que l’ivoirienne Emmanuelle Keita n’a fait que donner un avis, sans toutefois prononcer des injures à l’encontre de la chanteuse gabonaise.