Mike et Nadia Jocktane célèbrent 32 ans de mariage sous le signe de la gratitude

Ce mercredi 30 juillet, l’évêque Mike Jocktane et son épouse Nadia ont célébré leurs 32 ans de mariage, symbolisés par les noces de cuivre. Une étape marquante pour ce couple pastoral emblématique à la tête de l’Église Christ révélé aux nations (CRN). Sur les réseaux sociaux, leur union a été saluée par une pluie d’hommages et une série de clichés retraçant près de quatre décennies d’amour et de fidélité.

Mariés civilement en 1993 dans un cadre modeste, les deux tourtereaux avaient auparavant partagé six années de relation, entamée alors qu’ils n’étaient que de jeunes adultes. De leur union sont nés plusieurs enfants, fruits d’un engagement sans faille, tant personnel que spirituel.

Une célébration sobre et spirituelle

À l’occasion de cet anniversaire, l’Église CRN a organisé une action de grâce, en hommage au parcours du couple. Une vidéo diffusée montre Mike Jocktane, accompagné de son épouse – elle aussi évêque – en train de couper un gâteau symbolique, sous les chants et les prières de fidèles visiblement émus.

Nadia Jocktane, quant à elle, a partagé un message poignant sur ses réseaux :

« 38 ans que ça a commencé, 32 ans que ça dure. J’étais… Je suis… Je serai… Ta femme pour la vie. JOYEUSE NOCE DE CUIVRE À NOUS. Love you… oui tu es beau ! »

Un témoignage d’attachement sincère, qui a touché de nombreux fidèles, au-delà même des cercles religieux.

Une figure pastorale discrète mais influente

Basé entre la France et le Gabon, Mike Jocktane demeure une voix respectée au sein du paysage chrétien francophone. Outre ses fonctions religieuses, il est également engagé sur les plans social et politique, prônant régulièrement des valeurs de justice, de paix et de vérité.

Son couple, formé avec Nadia Jocktane, apparaît comme un pilier de stabilité dans un environnement souvent agité. Leurs noces de cuivre incarnent ainsi non seulement une réussite matrimoniale, mais aussi une fidélité aux engagements spirituels et communautaires qu’ils incarnent.