Politique

Stempy Love Obame demande pardon pour ses fausses allégations sur le plan machiavélique contre Oligui Nguema

Publié

// le

L’information a été confirmée dans la soirée du jeudi 13 juin lors de l’édition du journal télévisé de la chaîne publique. Stempy Love Obame a demandé pardon aux personnes qu’il a heurtées, notamment au président de la Transition et à tous les membres de son cabinet. L’animateur activiste se trouve actuellement dans les geôles de la Direction Générale des Recherches à la suite de ses allégations sur un prétendu plan machiavélique contre le nouvel homme fort du pays.

C’est une démarche pour le moins inattendue. Les fidèles téléspectateurs du journal de Gabon 1ère ont dû être surpris en découvrant le reportage sur Stempy Love Obame ce jeudi soir au journal télévisé. L’animateur est actuellement sous la garde des agents de la Direction Générale des Recherches. Il a été interpellé pour avoir tenté de semer la discorde entre le président de la République et les membres de son cabinet. Dans une vidéo devenue virale sur la toile, le désormais lanceur d’alerte a dénoncé un plan machiavélique contre le général Brice Clotaire Oligui Nguema, accusant à tort une de ses proches collaboratrices. Rattrapé par ses propos, l’ancien animateur d’Espace Jeunes a présenté un mea culpa public.

En tenant compte des informations non traitées que j’ai regroupées et que j’ai diffusées, le plan machiavélique est simple. Il y a des personnes qui veulent faire nommer d’autres personnes à l’insu du chef de l’État,” a-t-il déclaré au micro de nos confrères de la télévision publique.

Il a également ajouté : “L’information était fausse, car je ne suis pas allé à la source. Je voudrais humblement, à travers votre micro, demander pardon au chef de l’État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, et aux membres de son cabinet que j’ai heurtés. Mon intention n’a jamais été de heurter la sensibilité de qui que ce soit mais de lancer toujours l’alerte,” a conclu Stempy Love Obame dans les locaux de la Direction Générale des Recherches.

Cliquez pour commenter
Quitter la version mobile