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Politique

Affaire « Un jeune, un permis » : Armel Mickala s’excuse publiquement auprès de Guy-Bertrand Mapangou

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Depuis le mardi 21 janvier, une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre Armel Mickala, activiste pro-CTRI, présenter des excuses publiques à Guy-Bertrand Mapangou. Celui-ci, collaborateur proche du président de la Transition, avait été cité injustement par Mickala dans le scandale lié au projet « Un jeune, un permis ». Rattrapé par sa conscience, l’activiste reconnaît avoir formulé des accusations infondées et affirme vouloir réparer son erreur.

Dans cette affaire, Armel Mickala avait accusé Guy-Bertrand Mapangou d’être impliqué dans un détournement de fonds présumé lié au programme « Un jeune, un permis ». Mais quelques jours plus tard, Mickala a pris la parole pour se rétracter. Dans sa déclaration, il admet avoir mêlé le nom de Mapangou à tort, reconnaissant que celui-ci n’était impliqué « ni de près, ni de loin » dans cette affaire.

Cette volte-face a provoqué de nombreuses réactions, notamment au sein de son entourage familial. Mickala affirme avoir été réprimandé par sa mère :
« J’ai dû présenter mes excuses à ma maman, qui n’a pas apprécié que je mentionne le patriarche dans une affaire qui ne le concerne pas. »

Dans sa vidéo d’excuses, l’activiste s’adresse directement à Guy-Bertrand Mapangou, déclarant :
« Au lieu d’agir de façon discrète, comme vous le faites, j’ai mentionné votre nom en public. Je reviens donc sur la place publique pour vous présenter mes plus plates excuses. »

Selon Mickala, ces fausses allégations résultent d’un manque de sagesse et d’une erreur de jugement. Cette déclaration vise non seulement à apaiser les tensions, mais aussi à restaurer l’honneur et la dignité de Guy-Bertrand Mapangou, mis en cause à tort dans une affaire qui a suscité une forte controverse.

Toutefois, cet épisode met en lumière la responsabilité des acteurs publics et des activistes à mesurer leurs propos, en particulier dans un contexte de transition politique où les accusations non fondées peuvent facilement ternir des réputations et alimenter des tensions inutiles.

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