Journée de la Femme : Coralie La Louve prône pour les droits de l’artiste gabonaise

La célébration de la Journée internationale des droits de la femme permet aux femmes de rappeler aux dirigeants leurs conditions. C’est en cela que, la célèbre artiste danseuse Coralie La Louve s’est plus appesantie ce 08 mars sur la régularisation de la situation du statut l’artiste et l’acteur culturel et la matérialisation des droits d’auteurs et droits voisins.

La journée internationale des droits de la femme ne passe pas sous silence au sein de la communauté féminine artistique gabonaise. Coralie La Louve a choisi cette occasion pour rappeler aux autorités l’amélioration des conditions vie et de travail de l’artiste féminine. Il est vrai que le projet de loi portant sur le statut de l’artiste et l’acteur culturel a déjà été adopté en conseil des ministres mais il reste encore inachevé jusqu’à ce jour.

Car les députés et sénateurs, élus du peuple, n’ont pas encore planché sur cette question afin d’une adoption définitive qui permettra un statut juridique et la matérialisation certaine des droits d’auteurs et droits voisins tant attendus depuis des années par les artistes.

“Je suis un Être 𝙃𝙐𝙈𝘼𝙄𝙉, donc… J’AI DES 𝘿𝙍𝙊𝙄𝙏𝙎!

• Le droit à un 𝙨𝙖𝙡𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙚𝙜𝙖𝙡
• Le droit de 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚 (𝙎𝙏𝙊𝙋 à la v̳i̳o̳l̳e̳n̳c̳e̳ et à la d̳i̳s̳c̳r̳i̳m̳i̳n̳a̳t̳i̳o̳n̳ )
• Le droit à la 𝙥𝙧𝙤𝙥𝙧𝙞é𝙩é
• Le droit à 𝙡´é𝙜𝙖𝙡𝙞𝙩é 𝙙𝙚𝙫𝙖𝙣𝙩 𝙡𝙖 𝙡𝙤𝙞
• Le droit de 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚𝙧,
  La 𝐃𝐀𝐍𝐒𝐄 est mon 𝐀𝐑𝐓, donc JE SUIS 𝐃𝐀𝐍𝐒𝐄𝐔𝐒𝐄! “, a déclaré sur sa page Facebook la meilleure artiste de danse à la Nuit du Talent édition 2022.

Pour l’artiste, la femme joue un rôle essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels le monde est confronté aujourd’hui et elle doit être entendue, valorisée et appréciée dans tous les secteurs d’activités. Avant de saluer les avancées significatives de la protection des droits de la femme dans le pays à travers la mise en place de la Décennie de la femme.

Célébrée chaque 08 mars de l’année, la Journée internationale des droits de la femme trouve son origine dans la lutte des ouvrières et suffragettes du début du 20e siècle. Les femmes revendiquaient alors le droit de vote et les meilleures conditions de travail. C’est dans cette optique que la chorégraphe a voué ses encouragements à toutes femmes qui militent dans ce sens.

“Je dédie ce post et cette journée du 08 Mars à toutes les 𝐚𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬/𝐎𝐍𝐆 qui œuvrent régulièrement pour la protection des DROITS DE LA FEMME“, conclu-t-elle