Le chroniqueur Mr Wils exprime un point de vue controversé sur la chanson “Aimons-nous vivants”

Cette chanson mélancolique a été initialement enregistrée pour manifester un élan de solidarité envers les acteurs culturels malades et en difficulté sociale. Un mois après sa sortie, elle ne fait pas l’unanimité dans le milieu du showbiz gabonais malgré une forte représentativité des artistes iconiques. C’est le désaveu exprimé le mardi 16 juillet par le chroniqueur et influenceur Mr Wils dans un de ses contenus.

La musique gabonaise a toujours été une source inépuisable de talent et de créativité. Mais elle n’échappe pas à la critique qui secoue le monde du spectacle. Il paraît peu probable que le public ait pu passer à côté de “Aimons-nous vivants”, la chanson du collectif des artistes. Celle-ci a tourné en boucle le mois dernier, se hissant même dans les classements des playlists. Même si certains mélomanes auraient pu passer entre les mailles du filet, il n’en demeure pas moins qu’ils aient pu manquer la controverse de cette chanson.

Comme à son habitude, Mr Wils a apporté sa critique sur les sujets d’actualité ayant trait au social, à la culture, à la musique et aux people. Dans une récente livraison de son contenu, l’influenceur est revenu sur ce titre “Aimons-nous vivants” à l’honneur des artistes et acteurs culturels malades. Bien que l’initiative soit bonne, l’influenceur a remis en cause le travail de ces artistes. Dès l’entame de cette chanson avec l’entrée en matière d’Anothche, Mr Wils affiche une mine de déception, refusant totalement de poursuivre le visionnage de la vidéo et dit ce qui suit : “c’est exclatax”.

Tout en respectant la carrière et le talent de tous ces artistes, il a néanmoins ajouté que le résultat de ce travail n’est pas satisfaisant malgré l’association des grandes figures musicales du pays. Sur les réseaux sociaux, les internautes étaient divisés. Plusieurs ont soutenu son point de vue, saluant au passage l’action sociale derrière cette chanson. Espérant que son avis ne lui attire pas les foudres de la communauté artistique, du moins des artistes réunis au sein d’un collectif pour une cause noble.