Princesse 12 menace de dévoiler publiquement les identités des femmes gabonaises qui draguent son mari

Près d’un mois après son retour au foyer en France, Princesse 12 semble épanouie et partage ses moments de joie avec ses fans sur les réseaux sociaux. Cependant, son bonheur attire des regards malveillants cherchant à semer le trouble dans sa vie de couple. Des femmes gabonaises ont tenté de conquérir le cœur de son mari, suscitant la colère de la chanteuse ce dimanche 14 avril.

Les réseaux sociaux sont un outil puissant pour les artistes, leur permettant de communiquer directement avec leur public. Cependant, cela peut se retourner contre eux lorsque leur vie privée est exposée, entraînant des représailles contre leurs détracteurs.

C’est le cas pour Princesse 12, qui met en garde celles qui cherchent à séduire son mari. La chanteuse est jalouse, et elle le fait savoir ! La mère d’Ewaga Family a averti qu’il ne fallait pas trop s’approcher de son mari, Didier, sinon… “L’extermination serait absolue et immédiate, suivie de l’intimidation de l’être aimé par des menaces et des coups.” La fille de Zéphirin le Grand révèle que des femmes gabonaises cherchent à déstabiliser son foyer en tentant de séduire son “Didou” via les réseaux sociaux. Princesse 12, qui a accès aux comptes Facebook et Messenger de son mari, affirme recevoir de nombreux messages de drague. Certaines osent même appeler tôt le matin, sachant qu’il est occupé.

“Je ne sais pas quel est votre objectif, les petites esprits des Gabonaises là. Vous voulez tester mon mari ou quoi ? Mais sachez que vos plans sont voués à l’échec. Quelle éducation ? Fouiller le Facebook du mari d’une star et lui envoyer des messages privés, ou même appeler à 6 heures du matin“, s’indigne-t-elle.

Princesse 12 reste inflexible. Elle prévient : “Sachez que je contrôle tous ses réseaux sociaux, que je sois en France ou au Gabon. La prochaine fois, je vous exposerai !!! Gérez vos foyers, car ici, c’est moi qui mène la danse !!! Je ne suis pas responsable de vos échecs, assumez-les vous-mêmes“, conclut-elle, en colère.