Concert de la Libération : les détails clés d’Arnold Djoud sur l’organisation de l’événement

Invité sur la RTG1 ce 27 août, le musicien et acteur culturel Arnold Djoud, faisant partie du comité d’organisation du Concert de la Libération du 30 août prochain, a donné des détails sur plusieurs points liés à l’événement. Le vétéran du showbiz gabonais a essentiellement évoqué le sujet lié au cachet des artistes.

Le concert de la Libération, prévu pour le 30 août prochain à la place de l’indépendance à Tchibanga, promet de beaux spectacles. Les préparatifs se poursuivent progressivement. À quelques heures de l’événement, il était judicieux de faire le bilan post événement. À cet effet, l’un des membres du comité d’organisation du spectacle, Arnold Djoud, était face aux journalistes de la RTG1 pour donner plus de détails sur la question.

Le vétéran de la musique gabonaise a d’abord assuré la bonne marche des préparatifs avant d’évoquer le cachet des artistes invités. « Nous prenons les dispositions pour que tout se passe bien. Assurer pleinement les cachets des artistes et bien d’autres choses. Les artistes qui vont prester lors de l’événement font une cinquantaine et ils seront bien payés. », a-t-il affirmé.

Allant plus loin, Arnold Djoud affirme que tout le monde sera traité en fonction de son statut. « Concernant les cachets des artistes, chacun est dans sa catégorie. Il y a certaines choses que les gens doivent comprendre. Chaque artiste sera payé en fonction de son statut. Il y a des stars, des mégas stars, des artistes en herbe, tout monde parmi les artistes invités. Donc eux tous ne peuvent pas avoir le même cachet. », a-t-il poursuivi.

Bien entendu, ce concert de la Libération initié et parrainé par le chef de l’État, Brice Oligui Nguema, se veut être un brassage des artistes de toutes les générations. « Le concert rassemblera les artistes de toutes les générations. Le président avait à cœur de revoir les anciens. Vous savez qu’il est un féru du rap, donc on aura les pères du rap et plusieurs autres anciens artistes pratiquants d’autres styles de musique. La scène sera un cocktail de toutes les générations. », a conclu Arnold Djoud.