Le rappeur EJ, “Le chocolat des filles” est au-dessus des pasteurs et prophètes lors des débats télévisés

Actuellement en séjour en France pour plusieurs spectacles, EJ a partagé son point de vue sur les interventions de “Le chocolat des filles” face aux pasteurs et prophètes, lors de ses passages sur l’émission “Dieu en question” diffusée sur la télévision publique. Le lundi 16 septembre, le rappeur a souligné que cet éveilleur de consciences est bien plus impressionnant qu’il ne l’imaginait, le comparant à un enseignant face à ses élèves. Et ce, malgré les tentatives pour le faire taire.

“Le chocolat des filles” est au centre de l’attention sur les réseaux sociaux pour son combat contre les faux prophètes et pasteurs. Depuis plusieurs semaines, il participe à l’émission “Dieu en question” sur Gabon 1ère, captivant à la fois téléspectateurs et internautes par ses interventions magistrales. Ces dernières donnent parfois l’impression de transformer le plateau en salle de classe pour une leçon d’histoire, de géographie et de religion, face aux invités présents.

Le célèbre rappeur gabonais EJ a ainsi salué la pertinence et la vaste connaissance de “Le chocolat des filles”, qu’il estime largement supérieur à ceux qui débattent avec lui. Selon EJ, il serait presque suicidaire de défier “Le chocolat des filles” lors d’un débat télévisé, soulignant que ce dernier a des répliques capables de réduire au silence ses adversaires qui tentent de l’humilier.

Lors d’un live sur TikTok, EJ a même imité une scène où “Le chocolat des filles” avait ridiculisé un évangéliste portant une grosse croix. “Lui, c’est carrément le maître des débats, c’est le Dieu des débats, y’a pas d’homme pour lui. Tu vas tomber dans un débat avec ‘Le chocolat des filles’, tu es qui? Tu es qui?“, a commenté le rappeur.

En effet, “Le chocolat des filles” parvient à faire ce que d’autres n’ont pas réussi : déstabiliser les pasteurs, prophètes et évangélistes, qui finissent souvent par s’emporter. Lors des débats, diffusés chaque dimanche, les hommes de Dieu tombent dans le piège, se perdant dans des digressions hors contexte et hors sujet. C’est alors que “Le chocolat des filles” recentre le débat, se comportant comme un enseignant, et laissant parfois toute l’assistance sans voix.